Daniel Lauret présent lors de cette conférence, en dit quelques mots :
" Ce travail a le grand mérite de restaurer le chef d’oeuvre en péril de notre flore locale. Un ouvrage aux belles photos qui sait montrer que nos jardins ne sauraient se limiter à un karo tizanes. Que le jardin se mange aussi avec les yeux, comme les paysages et les camaïeux de verts qu’ils nous prodiguent. Qu’un jardin c’est aussi des parfums, la caresse de la brise à l’ombre fraiche d’un arbre tutélaire, la saveurdes fruits défendus, le chant des oiseaux et le bruit de notre silence. Le petit Prince ne s’y trompait pas. Il voulait retrouver sa fleur. Candide, non plus, en nos invitant, comme les auteurs, à cultiver notre Jardin."