Comme pour les films d’horreur, les romans policiers provoquent chez nous des sensations de peur et de plaisir. Malgré des images morbides, glauques, nous restons-là accrochés à l’histoire. Pourquoi ? Essayons-nous de tester nos limites ? De voir jusqu’à quel point nous pouvons supporter l’épouvante, l’angoisse ? C’est pourtant simple…
Ces sentiments sont addictifs !
Dans Le chat et la souris, dernière enquête de Christoph Chabirand, les découvertes sont macabres. Décrites dans un détail troublant, les scènes de crimes nous plongent dans l’horreur. Et pourtant ces images ne nous empêchent pas de poursuivre notre lecture. Au contraire mon cher lecteur ! Cela nous donne envie de mener l’enquête tels des lieutenants assistant Cazambo et Picard. Notre mission (puisque nous l’acceptons) : découvrir le criminel qui se cache derrière ces meurtres et surtout trouver son mobile !