
Le livre débute avec l'hommage rendu par le peuple martiniquais à son héraut au travers de la voix et de la performance géniale de Kenjah. « Hombre couché, ombre verticale toujours ! Hasta siempre ! » s'exclame Marius Gottin. Puis, au fil des différents textes, le lecteur est conduit vers autant d'univers que de points de fuite qui s'accordent et s'établissent en un seul plan, lui livrant ainsi un portrait puissant d'un homme à la carrure historique, autant émancipateur que créateur.